Oh-oh, oh-oh-oh-oh Oh-oh-oh-oh Ce soir nous rêvons, nous rêvons
On veut faire le bien On n’sait pas bien comment faire Mais faut plus se taire Ça n’a l’air de rien Mais regarder la misère Pour la mettre à terre Impuissant plus jamais non Il suffit de pas grand chose au fond Pour qu’un puissant fasse des millions Qu’est-ce qu’on attend pour la faire notre révolution?
Pourvu qu’on s’aime et qu’on le sème Pour que les rêves deviennent révolution Faut qu’on l’apprenne, qu’on le retienne Les gens qui rêvent font des révolutions Faut qu’on se lève, qu’on se soulève Faire de ce chant notre résolution Le dire sans trêve sur toutes les lèvres On pourra dire notre révolution Révolution
Oh-oh, oh-oh-oh-oh Oh-oh-oh-oh Ce soir nous rêvons, révolution
Oh-oh, oh-oh-oh-oh Oh-oh-oh-oh Ce soir nous rêvons, nous rêvons
Rien n’arrêtera Tous ces cœurs qui se répondent Pas même la fin du monde Chaque petite voix C’est un cri d’amour qui compte Pour faire bouger le ronde Impuissant puis des millions Avec la force du nombre, on fête rien Impuissant puis des sillons Pour tracer sur notre route une révolution
Pourvu qu’on s’aime et qu’on le sème Pour que les rêves deviennent révolution Faut qu’on l’apprenne, qu’on le retienne Les gens qui rêvent font des révolutions Faut qu’on se lève, qu’on se soulève Faire de ce chant notre résolution Le dire sans trêve sur toutes les lèvres On pourra dire notre révolution Révolution
Oh-oh, oh-oh-oh-oh Oh-oh-oh-oh Ce soir nous rêvons, révolution
Oh-oh, oh-oh-oh-oh (ce soir nous rêvons) Oh-oh-oh-oh Ce soir nous rêvons, nous rêvons
Oh-oh, oh-oh-oh-oh Oh-oh-oh-oh Ce soir nous rêvons, révolution
Oh-oh, oh-oh-oh-oh Oh-oh-oh-oh Ce soir nous rêvons, nous rêvons
Pourvu qu’on s’aime et qu’on le sème Pour que les rêves deviennent révolution Faut qu’on l’apprenne, qu’on le retienne Les gens qui rêvent font des révolutions Faut qu’on se lève, qu’on se soulève Faire de ce chant notre résolution Le dire sans trêve sur toutes les lèvres On pourra lire notre révolution Résolution
Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.
En conséquence, l’Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l’Être suprême, les droits suivants de l’homme et du citoyen.
Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider, les êtres humains sont ainsi. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas le malheur. Nous ne voulons ni haïr ni humilier personne. Dans ce monde, chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche pour nourrir tout le monde. Nous pourrions tous avoir une belle vie libre mais nous avons perdu le chemin.
L’avidité a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour finir enfermés. Les machines qui nous apportent l’abondance nous laissent néanmoins insatisfaits. Notre savoir nous a rendu cyniques, notre intelligence inhumains. Nous pensons beaucoup trop et ne ressentons pas assez. Etant trop mécanisés, nous manquons d’humanité. Etant trop cultivés, nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités, la vie n’est plus que violence et tout est perdu. Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres, ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité, l’amitié et l’unité de tous les hommes.
En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d’hommes, de femmes, d’enfants désespérés, victimes d’un système qui torture les faibles et emprisonne des innocents.
Je dis à tous ceux qui m’entendent : Ne désespérez pas ! Le malheur qui est sur nous n’est que le produit éphémère de l’avidité, de l’amertume de ceux qui ont peur des progrès qu’accomplit l’Humanité. Mais la haine finira par disparaître et les dictateurs mourront, et le pouvoir qu’ils avaient pris aux peuples va retourner aux peuples. Et tant que les hommes mourront, la liberté ne pourra périr. Soldats, ne vous donnez pas à ces brutes, ceux qui vous méprisent et font de vous des esclaves, enrégimentent votre vie et vous disent ce qu’il faut faire, penser et ressentir, qui vous dirigent, vous manœuvrent, se servent de vous comme chair à canons et vous traitent comme du bétail. Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains, ces hommes-machines avec des cerveaux-machines et des cœurs-machines. Vous n’êtes pas des machines ! Vous n’êtes pas des esclaves ! Vous êtes des hommes, des hommes avec tout l’amour du monde dans le cœur. Vous n’avez pas de haine, seuls ceux qui manquent d’amour et les inhumains haïssent. Soldats ! ne vous battez pas pour l’esclavage, mais pour la liberté !
Il est écrit dans l’Evangile selon Saint Luc « Le Royaume de Dieu est au dedans de l’homme », pas dans un seul homme ni dans un groupe, mais dans tous les hommes, en vous, vous le peuple qui avez le pouvoir : le pouvoir de créer les machines, le pouvoir de créer le bonheur. Vous, le peuple, en avez le pouvoir : le pouvoir de rendre la vie belle et libre, le pouvoir de faire de cette vie une merveilleuse aventure. Alors au nom même de la Démocratie, utilisons ce pouvoir. Il faut nous unir, il faut nous battre pour un monde nouveau, décent et humain qui donnera à chacun l’occasion de travailler, qui apportera un avenir à la jeunesse et à la vieillesse la sécurité. Ces brutes vous ont promis toutes ces choses pour que vous leur donniez le pouvoir – ils mentent. Ils ne tiennent pas leurs promesses – jamais ils ne le feront. Les dictateurs s’affranchissent en prenant le pouvoir mais réduisent en esclavage le peuple. Alors, battons-nous pour accomplir cette promesse ! Il faut nous battre pour libérer le monde, pour abolir les frontières et les barrières raciales, pour en finir avec l’avidité, la haine et l’intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où la science et le progrès mèneront vers le bonheur de tous. Soldats, au nom de la Démocratie, unissons-nous !
Hannah, est-ce que tu m’entends ? Où que tu sois, lève les yeux ! Lève les yeux, Hannah ! Les nuages se dissipent ! Le soleil perce ! Nous émergeons des ténèbres pour trouver la lumière ! Nous pénétrons dans un monde nouveau, un monde meilleur, où les hommes domineront leur cupidité, leur haine et leur brutalité. Lève les yeux, Hannah ! L’âme de l’homme a reçu des ailes et enfin elle commence à voler. Elle vole vers l’arc-en-ciel, vers la lumière de l’espoir. Lève les yeux, Hannah ! Lève les yeux !
Qu’est-ce qu’un guerrier de la lumière ? Tu le sais. C’est celui qui est capable de comprendre le miracle de la vie, de lutter jusqu’au bout pour ce en quoi il croit, et – alors – d’entendre les cloches que la mer fait retentir dans ses profondeurs.
Un guerrier de la lumière prête attention au regard d’un enfant, parce que les enfants savent voir le monde sans amertume. Lorsqu’il désire savoir si une personne est digne de confiance, il la regarde avec les yeux d’un enfant.
Que faire contre une révolution qui a tellement raison ? Rien. L’aimer. C’est ce que font les nations. La France se donne, le monde l’accepte. Tout le phénomène actuel est dans ces quelques mots. On résiste à l’invasion des armées ; on ne résiste pas à l’invasion des idées.
2/18 J’ai étudié le 🇫🇷 à l'université, et quand je viens à Paris, je porte une écharpe par tous les temps. Donc, ce pays m’est proche, et je vais essayer.
Une pupille noire, entourée de blanc Le visage fatigué braqué sur un lieutenant L’ordre sera donné dans quelques instants Deuxième assaut de la journée et Marcel attend Il a placé au bout de son fusil une baïonnette pour lutter contre une mitraillette de calibre 12.7 Près de sa tranchée, placés à 20 ou 30 mètres, la guerre des bouchers, nous sommes en 1917
Le pays n’est pas encore sauvé, ne va surtout pas croire ça. Mais les vieilles croyances se sont effondrées. Sur ces ruines, nous pouvons construire. Voilà leur tâche : se gouverner eux-mêmes. Leurs vies… Leurs amours… Leur pays…
« Il était le dernier résistant du plateau des Glières, là où voilà 78 ans, quelques centaines d’hommes se sont dressées face à l’occupant nazi et ses complices de Vichy. Jean Isaac-Tresca, héros de la Résistance intérieure, nous a quittés à l’âge de 104 ans.
« La vérité suprême, c’est que nous savons qu’ils mentent. Ils savent aussi que nous savons qu’ils mentent. Nous-mêmes savons aussi qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent. Ils savent aussi que nous nous contentons de faire semblant de croire qu’ils ne mentent pas… » Li Chengpeng
Tout le monde le sait. Confessions d’un traître à la patrie.
Evey : Vous êtes sûr que faire exploser le Parlement, ça va vraiment améliorer la vie dans ce pays ? V : Il n’y a pas de certitudes, il n’y a que des opportunités. Evey : La seule chose dont vous pouvez être certain, c’est que ceux qui viendront finiront avec les petits sacs noirs de Creedy sur la tête. V : Les peuples ne devraient pas avoir peur de leurs gouvernements. Les gouvernements devraient avoir peur du peuple. Evey : Et vous pensez y arriver en faisant exploser un bâtiment ? V : Le bâtiment est un symbole, tout comme le fait de le détruire. C’est le peuple qui valorise les symboles. Isolé, un symbole est dénué de sens, mais soutenu par toute une foule, le fait de détruire un édifice peut changer le monde.
Natalie Portman et Hugo Weaving, V pour Vendetta (2006), écrit par Andy et Lana Wachowski
« Les victoires sont nécessaires aux gouvernements, les défaites aux peuples. Après la victoire, on veut d’autres victoires encore ; après une défaite, on veut la liberté, et généralement on l’obtient. Les défaites sont nécessaires aux peuples comme les souffrances et les malheurs à l’individu ; ils vous obligent à approfondir votre vie intérieure, à vous élever spirituellement. »
L’Archipel du Goulag 1918-1956, Alexandre Soljenitsyne (1918-2008)
Au XXIe siècle, une métropole à l’architecture fantastique vit sous le joug d’un groupe de tyrans.
Les aristocrates se prélassent et se divertissent dans de somptueuses demeures et de luxuriants jardins, tandis que la grande masse de la population travaille, dort et survit durement dans les profondeurs de la terre.
Le fils du maître de la ville découvre avec effarement l’existence du monde souterrain, où se rencontrent en secret les ouvriers, peu enclins à supporter pour toujours leur situation.
Pendant ce temps, un savant invente une femme-robot qui doit détourner les opprimés de leur révolte…
En 1945, la création de l’UNESCO répond à une conviction forte des nations marquées par deux conflits mondiaux en moins d’une génération : les accords économiques et politiques ne peuvent suffire à construire une paix durable. Celle-ci doit s’établir sur le fondement de la solidarité intellectuelle et morale de l’humanité.
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Fonctionnel
Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web à des fins de marketing similaires.